DASOD has kicked off the commissioning of the water treatment mini-plant in the Makala municipality after the borehole operationalization, providing drinking water to nearly 40,000 inhabitants of the Bagata and Mabulu II neighbourhoods. The adolescent girls and young women benefiting from the project are those employed in this mini-plant of water production and treatment as part of the empowerment and job opportunities component for the youth – ex kulunas – for social reintegration and a visible social impact.

The social and socio-economic situation of adolescent girls and young women in Kinshasa and the rest of the Democratic Republic of Congo remains a huge concern. Many are facing complex social realities and living in extremely difficult conditions, being exposed to all types of troubles. These adolescent girls and young women live on the streets and end up consuming psychotropic substances and alcohol with all the consequences resulting from. Those taking part in the WFAD three-year project funded by the Swedish Cooperation through the Swedish Embassy in the DRC lived in similar circumstances.

The ”Sober Youth-Healthier Communities: Transforming Violent Youth in Kinshasa” project is in line with the efforts made to improve the situation of Congolese adolescent girls and young women victims of urban violence as well as of the harms of drugs and other psychoactive substances.

Within the framework of this project, supervised by WFAD and implemented by the partners Interactions RDC, Dynamiques Actions pour la Solidarité et le Développement (DASOD) and Synergie des Femmes (SYFES), 274 adolescent girls and young women have been offered mental and psychosocial support for their recovery and social reintegration. After the success of this support in the first year of the project, the second year opened with the empowerment phase.

After trainings provided on savings and entrepreneurship, and more recently on water treatment as provided by DASOD, the latter has just commissioned the water treatment mini-plant while employing the adolescent girls and young women who are beneficiaries of the project. On Monday 29th November 2021, the water treatment mini-plant was commissioned, thus making the empowerment process of adolescent girls and young women supervised in this project effective. They were all present at their workplace while expressing their enthusiasm to start a new life through the ‘’Sober Youth-Healthier Communities’’ project.

The three boreholes built with the help of the youth, in the former kulunas, in the framework of this project will be producing between 25,000 and 50,000 litres of water per day to provide drinking water to about 10,000 inhabitants of Kinshasa. They will also provide direct employment for nearly 150 adolescent girls and young women, thus meeting the socio-economic needs of this very vulnerable social group. The others will benefit from other economic activities, formal training, and informal training for their empowerment in the process.

The social impact of the ‘Sober Youth-Healthier Communities‘ project is no longer necessary to demonstrate as the project visibly contributes to the efforts made by the DRC authorities to tackle urban violence with the well-known kuluna phenomenon, but also to those made for recovery and social reintegration of these young people, who are victims of drug use harms.

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Projet Jeunesse Sobre : La mini-usine de traitement et production de l’eau à Makala est désormais pleinement opérationnelle

DASOD a procédé à l’opérationnalisation de la mini-usine de traitement de l’eau dans la commune de Makala après la mise en service du forage qui fournit de l’eau potable à près 40.000 habitants des quartiers Bagata et Mabulu II. Les adolescentes et jeunes femmes bénéficiaires du projet sont celles employées au sein de cette mini-usine dans la production et le traitement de l’eau dans le cadre du volet autonomisation et création d’emplois des jeunes – ex kulunas – pour la réinsertion sociale et un impact social visible.

La situation sociale et socio-économique de l’adolescente et de la  jeune femme à Kinshasa et dans le reste de la République Démocratique du Congo demeure une préoccupation. Elles sont nombreuses à faire face à des réalités sociales très compliquées et vivent  dans des conditions extrêmement difficiles les exposant ainsi à toutes sortes des péripéties. Ces adolescentes et jeunes femmes se retrouvent livrées à elles-mêmes et sont souvent accueillies par la rue et finissent dans la consommation des substances psychotropes et l’alcool avec toutes les conséquences qui en découlent. Telle était la situation de celles encadrées par le projet triennal de la WFAD.

Le projet  ‘‘Jeunesse Sobre-Communautés Plus Saines : Transformer les Jeunes Violents à Kinshasa’’ s’est inscrit dans le cadre des efforts consentis pour améliorer autant que possible la situation de l’adolescente et la jeune femme congolaise victimes de la violence urbaine ainsi que des méfaits de la drogue et autres substances psychoactives.

Dans le cadre de ce projet supervisé la WFAD et mis en œuvre par les partenaires Interactions RDC, Dynamiques Actions pour la Solidarité et le Développement (DASOD) et Synergie des Femmes (SYFES), 274 adolescentes et jeunes femmes ont suivi un accompagnement mental et psychosocial en vue de leur rétablissement et réinsertion sociale. Après la réussite de cet accompagnement dans la première année du projet, la deuxième année s’est ouverte avec la phase d’autonomisation.

Après les différentes formations assurées par DASOD sur  des notions de l’épargne et de l’entreprenariat ;  et plus récemment sur le traitement de l’eau, DASOD vient de mettre en service la mini-usine de traitement de l’eau avec comme employées les adolescentes et jeunes femmes bénéficiaires du projet. Ce lundi 29 novembre 2021, la mini-usine de traitement de l’eau est devenue opérationnelle concrétisant ainsi la phase d’autonomisation des adolescentes et jeunes filles encadrées dans ce projet. Elles étaient toutes présentes à leurs postes de travail et ont exprimé leur enthousiasme de commencer une nouvelle vie grâce au projet ‘Jeunesse Sobre-Communautés Plus Saines.

Les trois forages construits avec le concours des ex-kulunas dans le cadre dudit projet produira entre 25.000 et 50.000 litres d’eau par jour pour desservir près de 10.000 habitants de Kinshasa en eau potable. Aussi, ils assurent  de l’emploi direct  à près de 150 adolescentes et jeunes femmes répondant ainsi aux besoins socio-économiques de ce groupe social très vulnérable au regard des réalités vécues. Les autres seront bénéficiaires d’autres activités économiques, de formation formelle et formation informelle pour leur autonomisation.

L’impact social du projet ‘Jeunesse Sobre-Communautés Plus Saines’ n’est plus à démontrer car le projet participe visiblement aux efforts consentis par les autorités congolaises pour lutter contre la violence urbaine avec le  fameux phénomène kuluna, mais aussi à ceux consentis pour le rétablissement et  la réinsertion sociale de ces jeunes, victimes de la consommation des méfaits de la consommation des drogues.

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